Non à l'épidémie de plastique
Chaque année, 8 millions de tonnes de plastiques finissent dans l’océan. C'est en tout cas le chiffre donné par un rapport du World Economic Forum en 2016. Avec une augmentation de presque 5% par an, les 9 millions de tonnes approchent rapidement.
En 2017, la production de déchets plastiques était d'environ 400 millions de tonnes, et on estime aujourd’hui qu’elle pourrait atteindre les 550 millions de tonnes d’ici 2030.
Non à l'épidémie de plastique
L’OCÉAN EST UNE PRÉCIEUSE SOURCE DE VIE POUR L'HOMME
Recouvrant les deux-tiers de la surface de la planète, les océans sont les plus grands producteurs de l’oxygène que nous respirons. De plus, ils absorbent une grande quantité des émissions de dioxyde de carbone tout en fournissant de la nourriture et des nutriments. Ils régulent également l'équilibre climatique global de la Terre. Ils jouent donc un rôle central dans la survie de notre écosystème, mais sont pourtant de plus en plus sous la menace de l'humain qui les dégrade et détruits par ses activités et la pollution qu'il crée. La démultiplication de déchets d'origine plastique dans nos océans et l'un des facteurs les plus destructeurs.
D'après les dernières études, il y aura en 2050 plus de plastiques que de poissons si rien n'est fait pour arrêter cette folie.
Ci-dessous quelques chiffres qui reflètent l'ampleur de la situation et des problèmes à venir.
D'après les dernières projections, nous allons passer de 311 Millions de tonnes de plastique en 2014 à 1124 Millions de tonnes de plastique en 2050, soit presque 4 fois plus !!!
Actuellement, il y a encore 5 fois plus de déchets plastiques que de poissons, mais en 2050 il y aura plus de plastique que de poissons dans l'océan.
Entre 2014 et 2050 nous allons utiliser 2,5 fois plus de la production de pétrole pour fabriquer du plastique, pour arriver à 20% du pétrole utilisé dans ce dessein.
Enfin, la part de plastique dans les émissions de CO2 va carrément être multipliée par 15 !
La réglementation
En 2018, une directive européenne demande des mesures visant à interdire les produits en plastique à usage unique dont les gobelets et leur couvercle.
L'objectif : 100% des emballages recyclables en 2030
De nombreux cahiers des charges et normes ont été mis en place dans cette optique, dont la norme EN13432.
Selon la norme EN13432, un matériau peut être qualifié de “compostable”, s’il possède les caractéristiques suivantes:
- être en mesure d’atteindre 90% de biodégradation en moins de 6 mois s’il est soumis à un environnement riche en gaz carbonique; ces valeurs sont testées avec la méthode standard EN14046 (également nommée ISO14855)
- lorsqu’il est mis en contact avec des déchets organiques pendant 3 mois, la masse de matériau doit être constituée au moins de 90% de résidus inférieurs à 2 mm de diamètre; ces valeurs sont testées avec la méthode standard EN14045
- le matériau ne doit pas avoir d’effets négatifs sur le processus de compostage
- une faible concentration en métaux lourds
- des valeurs de pH dans les limites établies
Les alternatives au plastique
Il existe 2 manières d'appréhender le problème du plastique et de son impact sur l'environnement.
On peut envisager une solution de type "corrective", c'est à dire qu'on va nettoyer l'impact du plastique, essayer de le recycler du mieux possible et tenter de faire changer les habitudes de consommation. C'est la solution de facilité, car on se décharge du problème en demandant aux collectivités et aux particuliers de solutionner le problème.
Et il existe une solution dite préventive : on va chercher à substituer le plastique avec un produit durable et sans conséquence pour l’environnement. Par exemple on trouve de plus en plus de contenants en verre qui remplacent le plastique, car le verre est recyclable quasi à l'infini.
La principale difficulté étant qu'il faut remplir trois facteurs essentiels: le coût, avoir les mêmes propriétés que le plastique et surtout être écologique et durable.
L'emballage Be-Life
Les avantages du nouvel emballage végétal compostable de Be-Life sont décrites dans le comparatif ci-dessous.
Le laboratoire Bio-Life est parvenu à mettre au point un substitut naturel au dioxyde de titane, seul colorant blanc compatible avec les plastiques.
Ce substitut permet d’obtenir la coloration blanche et l’opacité du contenant, sans avoir à utiliser le dioxyde de titane qui est tellement décrié.
Cette invention permet de présenter un emballage unique 100% végétal sans aucun métal lourd.
Un cycle de vie unique
Ci-dessous le schéma du cycle de vie unique obtenu grâce aux nouveaux emballages végétaux compostables de Be-Life.
1 tonne de blé et maïs donne une tonne de matière première, sans créer de déchets. Cette matière première est utilisée pour la création des emballages végétaux compostables de Be-Life. Ils sont très résistants, supportant notamment des fourchettes de températures entre -40°C et +130°C. En fin de vie, le packaging se dégrade naturellement entre 6 et 9 semaines, pour donner un compost utilisable pour redonner de la richesse à la terre.
Caractéristiques techniques
Que retenir de tout ça ?
Be-Life, avec son emballage révolutionnaire végétal compostable, propose non seulement des compléments alimentaires de qualité supérieure, mais vous permet aussi de faire un geste pour la planète.
Les nouveaux emballages végétaux compostables Be-Life ne contiennent pas de Dioxyde de Titane, et se transforment en compost dans une période de 6 à 9 semaines.